C’est avec une immense tristesse que nous avons appris ce 1er septembre la disparition de Geneviève de Ternant.
Écrivain, poète, historienne, auteur de nombreux ouvrages, Geneviève de Ternant nous laisse de splendides poèmes, notamment réunis dans Passe-Muscade et Poèmes dans la tourmente, recueil qui reçut un prix de l’Académie française.
Mais elle était aussi l’auteur de L’Agonie d’Oran, ce bouleversant ouvrage en trois volumes qui a mis en mots la tragédie du 5 juillet. Grâce a elle, cet épouvantable drame ne pourra jamais être complétement occulté.
Femme de grand courage, de convictions fortes, elle était une référence.
C’est une icone que nous perdons. nous sommes en deuil.
En ce moment, il est impossible de ne pas évoquer deux grandes figures associées à elle, et comme elle des combattantes, Joseph Hattab Pacha et Anne Cazal.
A tous trois nous devons reconnaissance et gratitude pour l’œuvre qu’ils ont accomplie.
Denis Fadda
Les Obsèques de Geneviève de Ternant auront lieu le Mercredi 6 Septembre à 14h30, en l’Eglise du Sacré Cœur, 22 Rue de France à Nice.
Sur un homme dont je fus proche de 1956 à 1961, durant la guerre d’Algérie, ayant été son cadet de dix-sept ans, son jeune camarade polytechnicien et son collaborateur au Gouvernement général de l’Algérie, je crois de mon devoir d’apporter mon témoignage.
Il existe des tragédies occultées et qui sont similaires à ce drame du 26 mars 1962. Le présent témoignage a pour but de relater dans le détail, des faits tragiques qui ont eu lieu dans la ville de Bône, respectivement en décembre 1960 et en janvier 1962, les principales victimes de ces tragiques événements étant des adolescents âgés de 15 et 17 ans.
Compte rendu et photos de l’Hommage rendu sous l’Arc de Triomphe
Un exposé sur le progrès économique de l’Algérie (époque Française)
« Le lundi 26 mars 1962 le temps était au beau fixe et rien ne laissait présager le massacre de la rue d’Isly à ALGER….. »
Quartier d’Alger devenu mythique à cause d’un rameau de la langue d’oc qui y est né,
Bab El Oued aurait pu devenir le modèle achevé de l’intégration, de la tolérance, du multiculturalisme
et de toutes les doctrines que prône la république. Retour sur un âge d’or.
Pouvons nous accepter de commémorer le 19 mars ? Nous savons pourquoi la réponse est NON.