C’est avec une immense tristesse que nous avons appris ce 1er septembre la disparition de Geneviève de Ternant.
Écrivain, poète, historienne, auteur de nombreux ouvrages, Geneviève de Ternant nous laisse de splendides poèmes, notamment réunis dans Passe-Muscade et Poèmes dans la tourmente, recueil qui reçut un prix de l’Académie française.
Mais elle était aussi l’auteur de L’Agonie d’Oran, ce bouleversant ouvrage en trois volumes qui a mis en mots la tragédie du 5 juillet. Grâce a elle, cet épouvantable drame ne pourra jamais être complétement occulté.
Femme de grand courage, de convictions fortes, elle était une référence.
C’est une icone que nous perdons. nous sommes en deuil.
En ce moment, il est impossible de ne pas évoquer deux grandes figures associées à elle, et comme elle des combattantes, Joseph Hattab Pacha et Anne Cazal.
A tous trois nous devons reconnaissance et gratitude pour l’œuvre qu’ils ont accomplie.
Denis Fadda
Les Obsèques de Geneviève de Ternant auront lieu le Mercredi 6 Septembre à 14h30, en l’Eglise du Sacré Cœur, 22 Rue de France à Nice.
Initiée par M. Charles Levy, et réalisée par trois hommes décidés, cette "Cité Levy" reste encore dans la ville de Sétif, comme une trace positive du passé.
Parfois, des mots simples, parlent mieux au cœur que des paroles emplies d’emphase ou de vide...
Le talent de Philippe de Villiers est de nous rappeler, sans haussement de voix, et même avec la douceur qu’il sied à cette période de Noël, que nous avons été forgés dans une civilisation ancienne certes, mais éternelle dans la persistance de ses enseignements. Ce qui est révolutionnaire, c’est de démontrer nos racines, bien accrochées au sol de l’Europe, contrairement aux cultures hors-sol auxquelles ont veut nous comparer.
La tradition française est de fêter les victoires. On fête rarement les défaites ou les échecs. On n’a pas fêté l’armistice de juin 1940, ni les accords de Genève de juillet 1954 consacrant la perte de l’Indochine. Or le cessez-le-feu du 19 mars 1962, au moins par ses conséquences, n’a pas mis fin à la guerre d’Algérie.
Jour de la Toussaint, jour du souvenir, et début de la longue liste de victimes du FLN...
Rassemblement annuel au Mémorial, le 1er Novembre, jour du Souvenir
L’Histoire se répète toujours, comme une boucle qui revient, et revient encore...Nous sommes toujours étonnés, désarmés, sidérés de ce que "l’homme" peut faire...Et nous condamnons, à juste titre, l’escalade de l’horreur...certains le font sans conviction, assorti d’un "oui, mais", certains ne le font pas...Et ces mêmes, qui n’ont pas condamné le terrorisme FLN, voient sans émotion aucune, le sang versé par le Hamas, ou par d’autres encore...Les gens de cœur, pleurent avec moi, les victimes innocentes de cette sauvagerie terroriste.